Ennemi Galactique
Dans cette pièce explosive, l’univers Marvel prend une tournure apocalyptique sous le prisme de mon imaginaire. La scène capture l’instant critique où plusieurs super-héros — figures mythiques de la culture pop — unissent leurs forces pour faire face à une créature cosmique démesurée, surgie d’un autre monde. Entre chaos visuel et tension palpable, chaque détail raconte une lutte pour l’équilibre de l’univers. Le monstre, visqueux et tentaculaire, évoque les peurs primales, les monstres intérieurs, mais aussi l’absurdité d’un mal trop grand pour être compris.
Les super-héros ne sont pas idéalisés : leurs visages sont tendus, leur posture est celle de combattants humains, vulnérables mais déterminés. L’œuvre, baignée d’un éclairage dramatique et de textures intenses, s’inscrit dans une esthétique urbaine et trash, entre hommage et détournement. C’est une explosion de résine, de métal, de peinture et de symboles, qui projette le spectateur au cœur du combat. Ici, il ne s’agit plus seulement de sauver le monde, mais d’y survivre avec panache.